Un article d’Elise Macaire
paru dans l’ouvrage collectif "Ville éphémère, ville durable - Nouveaux usages, nouveaux pouvoirs"
lundi 23 mars 2009, par
Paru en 2009 dans Ville éphémère, ville durable - Nouveaux usages, nouveaux pouvoirs, ouvrage dirigé par De Coninck (F.) et Deroubaix (J.-F.), éditions de l’Œil d’Or / l’École doctorale Ville-Environnement, Paris.
Présentation de l’article d’Elise Macaire
Depuis les années 70, la profession des architectes s’inscrit dans un mouvement de socialisation de l’architecture . Dans le contexte de la réforme des Beaux-arts, et un peu plus tard du mouvement politique de 1968, une génération d’étudiants et d’enseignants en architecture s’est interrogée sur la dimension sociale de l’architecture, sur la formation des architectes et sur l’exercice du métier. Parmi les situations contribuant à cette socialisation de l’architecture, la « participation des habitants » a fait l’objet de nombreuses expérimentations, des architectes ayant été amenés à contribuer aux projets d’associations et de collectifs d’habitants . Quelques architectes ont ensuite fait de cette expérience à caractère militant une compétence spécifique.